dimanche 14 novembre 2010

COMMEMORATION DU 11 NOVEMBRE






NOUS ETIONS ENCORE PLUS NOMBREUX CE JOUR DE COMMEMORATION, TOUS REUNIS: REPRESENTANTS D'ASSOCIATIONS, HABITANTS ET ELUS AUTOUR DU MONUMENT AUX MORTS DE NOTRE QUARTIER.

NOUS REMERCIONS PIERRETTE, NOTRE SECRETAIRE POUR LE TEXTE QU'ELLE NOUS A FAIT PARTAGE AVEC BEAUCOUP D'EMOTION :


Le 11 NOVEMBRE est l’une des grandes date de la mémoire collective dans notre pays, ce jour de 1918 c’est la signature de l’armistice entre la France et l’Allemagne qui mit fin aux combats après 4 ans de guerre.
Ce sont les anciens combattants eux – mêmes qui ont œuvré pour que cette journée de la paix enfin retrouvée soit commémorée  .
Il est important que le courage, les sacrifices, les souffrances des soldats mais aussi de toute une génération reste dans chaque mémoire.

En effet, il y a 82 ans plus de 8 millions d’hommes ont laissé leur vie dans ce conflit, sans compter les milliers de mutilés et d’invalides revenus ; ils étaient français, allemands, mais aussi anglais, belges, canadiens, africains…
Pendant cette triste période il ne faut pas oublier le rôle tenu par les femmes dans les combats ou à l’arrière ; elles ont mené des actes exemplaires simplement pour survivre avec les enfants : la grande scientifique Marie Curie était l’une d’elles.
Il nécessaire de le dire à tous parce qu’il ne reste plus de témoin vivant, il y a cependant des lieux chargés de cette histoire : Verdun, Douaumont, les Dardanelles, les taxis de la Marne… tout cela nous ramène à ce jour.

Après 1918 , un esprit de paix s’installe peu à peu, mais une paix idéalisée que l’on voudrait réalité mais qui ne sera qu’un espoir.
20 plus tard, ‘Europe rentrera dans un nouveau conflit encore plus meurtrier.

« L’histoire ne nous fournit que des exemples de paix violée, de guerres injustes et cruelles, des champs dévastés et des villes réduites en cendres » le philosophe Denis Diderot disait cela dans sont Encyclopédie au XVIIIème siècle

Aujourd’hui ses paroles hélas, sont toujours la réalité : guerres des armes partout dans le monde, mais aussi guerre économique, sociale, écologique.

Alors œuvrons pour une culture de paix, non la guerre n’est pas fatale, la paix est possible si nous la construisons tous les jours, à l’échelle du monde, de notre pays, de nos quartier, aujourd’hui essayons d’être toujours plus à l’écoute les uns des autres, de nous entendre.
Ayons à cœur de construire un monde de paix pour nous mais surtout pour nos enfants et pour toutes les générations futures.


La vie est belle pas la mort.
En l’honneur de tous ceux qui ont disparu et que nous n’oublions pas, respectons une minute de silence


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