Ce blog est réalisé par et pour les habitants de ce quartier du 8ème arrondissement de Marseille
lundi 27 février 2012
LETTRE PETITION
Afin de résoudre les problèmes récurrents de circulation saisonnière de la route des Goudes, entre les quartiers de la Vieille Chapelle et Callelongue, un habitant et elu de nos quartiers a ressorti ces derniers mois une solution de bon sens, économique et écologique qui consistait à créer, en limite de la Campagne Pastré, un accès direct vers l’avenue du Corail et les autres quartiers de Marseille.
Cette solution était réclamée par les riverains car elle permettait de délester l’avenue de la Pointe Rouge de tout le trafic qui n’a rien à y faire. A l’époque, en 1992, les commissaires enquêteurs « indépendants » avaient demandé que cette voie soit inscrite sur le Plan d’occupation des sols. Ce qui n’a pas été fait compte tenu de quelques initiatives de résistance individuelles.
Malgré toutes les précautions prises, longueur et largeur de la voie restreintes, obligation d’un sens unique, en sortie, inscription de voies cyclables pour l’accès aux écoles et lycées, remise en état de l’environnement dégradé de ce secteur de la campagne Pastré, les critiques pleuvent, mais nous ne savons pas d’où vient la pluie.
1 – Le fait de passer en bordure de la campagne Pastré, presqu’en catimini, ne veut pas dire que ce merveilleux parc va être défiguré, dénaturé, bétonné, comme nous avons pu le lire.
Pour preuves, les opérations qui ont contribué à son amélioration sans soulever la moindre contestation. Nous parlons du remplacement du baraquement de l’ancien lycée professionnel, par un dégradé d’eau et de pelouses, du nouvel accès au centre hippique Pastré ou de l’implantation provisoire, par exemple du théâtre NONO.
2 – Cette voie de délestage ne perturbe aucune des fonctions ludiques et naturelles de ce secteur à l’abandon de la campagne Pastré. Elle ne touche ni les terrains de jeux, ni les terrains de boules, ni l’espace «accrobranche » si cher aux jeunes et ados, ni la végétation très peu entretenue le long des 400 mètres de la voie.
Les commissaires enquêteurs écrivaient :
« Cette voie se situe sur des terrains appartenant à la ville de Marseille et ne porte aucune atteinte à l’espace boisé de la campagne Pastré et offrira au contraire, pour les usagers de cet espace, une possibilité d’accès plus confortable que l’accès actuel par l’avenue de Montredon."
3 – Qui connaissait la petite chapelle de Pastré ? Personne, sauf ceux qui maintenant la considère comme une œuvre d’art et d’histoire à inscrire au patrimoine de l’Unesco.
Il ne faut pas se moquer des gens. La chapelle, aujourd’hui enfouie dans un entrelacs de branchages, ne sera pas touchée. Elle sera mise en valeur aux yeux de tous, comme ces deux hectares de végétation abandonnée qui servent de dépotoir depuis tant d’années.
4 – Non seulement la voie Pastré rendra service aux habitants de la Vieille Chapelle et de la Pointe Rouge qui verront la circulation de transit détournée vers leurs réelles destinations, mais les accès vers les écoles proches seront renforcés par une double piste cyclable.
Les possibilités d’élargissement des boulevard Piot, Prat et Chancel qui sont inscrits sur le Plan Local d’Urbanisme actuellement en vigueur, pourraient être ainsi remises en question. La centaine de villas concernées ne devraient plus être touchées, et … encore moins coulées.
5 - Terminons cette présentation par quelques points particuliers.
L’immeuble La Savoisienne, d’une centaine de logements, avenue de la Madrague de Montredon, bénéficiera d’un « branchement » sur la nouvelle voie avec accès direct à l’avenue du Corail.
La petite maison provençale, en face de la chapelle, censée accueillir des hôtes de la Mairie de Marseille, verra son accès facilité.
Le château Pastré, ancien musée de la Faïence, sera mieux desservi par une voie piétonne le long du canal de Marseille.
Les sorties du port de la Pointe Rouge et de la caserne de marins pompiers seront libérées.
Ce projet ne semble pas convenir à tous.
Nous avons demandé à la Communauté Urbaine de faire étudier ce projet et de l'inscrire au Plan Local d'urbanisme actuellement en révision.
POUR FAIRE CONNAITRE VOTRE AVIS, il vous est possible :
- D’informer le CIQ par mail ou par courrier
- De signer et diffuser le plus largement possible la pétition ci jointe
- D’envoyer aux décideurs, MM Gaudin ET Caselli, un petit mot sur l’intérêt de la voie
jeudi 23 février 2012
REUNION BATEAUX BUS
mardi 14 février 2012
Incivilités : comportements génants ou véritables infractions
Cette photo en dit long sur les nuisances auxquelles sont confrontés nos quartiers du bord de mer que certains prennent,on ne sait pour quelle raison, pour "une décheterie publique".
Ces incivilités, véritable défi à l'ordre public, au dela des actes et ses mécanismes de contrôle, ont également des conséquences néfastes sur l'environnement.
POUR INFORMATION
Nous rappelons que la déchetterie publique Marseille sud se situe :
avenue Jarre
13009 Marseille
tel 0491735963
ouverture de 7h a 18h30 du lundi au samedi et de 7h a 11h30 le dimanche
ou bien vous pouvez appeler ALLO MAIRIE pour les encombrants
au 0 810 813 813
POUR UNE PRISE EN CHARGE GRATUITE
jeudi 9 février 2012
mardi 7 février 2012
Du domaine privé à l'espace public, ou de l'espace public à l'intêret privé...
Vous avez été nombreux à réagir suite à l'article tendancieux de la Provence qui a suscité à la fois incompréhension et indignation tant le contenu était chargé de propos inexacts et qui ne semblent pas avoir fait l'objet de vérification sérieuse.
Nous partageons avec vous l'extrait d'un courrier que nous a adressé un habitant de nos quartiers et qui rétablit la vérité en s'appuyant sur un ouvrage dont nous vous communiquons les références " La campagne Pastré " Ed Edisud - nov 2001- ouvrage réalisé par quatre universitaires compétents.
"La campagne Pastré n'a pas été donnée à la Ville de Marseille par la Comtesse Lily Pastré, mais acquise par la Ville de Marseille le 6 juin 1974, après le décès de la Comtesse. Le vendeur fut son fils, le Comte Pierre Pastré. Il disait qu'il désirait que la campagne fut essentiellement ouverte aux jeunes et ne parlait pas de la conserver à l'état sauvage.
L'auteur du courrier précise que la noblesse des Pastré n'est pas authentique. elle fut obtenue par André Pastré (1885-1926), fils d'Eugène Pastré, négociant (1807-1868), frère de Jean baptiste Pastré, grand notable marseillais (1804-1877).
André Pastré reçu du Saint siège le titre de Comte; on pouvait obtenir de la Papauté un titre nobiliaire (de pacotille, selon les vrais aristocrates) si l'on faisait un don important au saint siège, ce n'est plus possible aujourd'hui.
Inutile de recourir aux mânes de Lily Pastré, fort riche, cultivée, bienfaitrice fastueuse, héritière d'une partie de la campagne de Montredon. Lily fut mariée (puis divorcée) au fils Jean, du comte André...
Mais...Revenons à la voie, l'argument consistant à vouloir préserver le parc est faux.
Tout d'abord parce que ce dernier a fait l'objet tout récemment de travaux importants avec la création d'un parking pour les usagers du centre équestre et la création d'un théâtre.
Ensuite parce que le parc serait simplement longé à sa limite : une voie de 4 mètre de large sur 300 mètre de long environ, cela représente 1200 m2, or l'ensemble du parc représente 120 hectares soit 1 200 000 m2.
La voie à la limite extérieure représenterait donc 1/1000ème de la superficie du parc -
INSIGNIFIANT !!
Alors pourquoi s'opposer à la création d'une telle voie ? n'oublions pas qu'elle concerne non seulement les habitants de Callelongue à la Pointe Rouge mais tous les habitants de la conurbation de Marseille (plus d'un million d'habitants)qui peuvent se rendre vers une côte encore sauvage.
Une vision uniquement locale est réductrice.
Marseille est elle une grande ville ou une bourgade aux vues étriquées ?"
Nous partageons avec vous l'extrait d'un courrier que nous a adressé un habitant de nos quartiers et qui rétablit la vérité en s'appuyant sur un ouvrage dont nous vous communiquons les références " La campagne Pastré " Ed Edisud - nov 2001- ouvrage réalisé par quatre universitaires compétents.
"La campagne Pastré n'a pas été donnée à la Ville de Marseille par la Comtesse Lily Pastré, mais acquise par la Ville de Marseille le 6 juin 1974, après le décès de la Comtesse. Le vendeur fut son fils, le Comte Pierre Pastré. Il disait qu'il désirait que la campagne fut essentiellement ouverte aux jeunes et ne parlait pas de la conserver à l'état sauvage.
L'auteur du courrier précise que la noblesse des Pastré n'est pas authentique. elle fut obtenue par André Pastré (1885-1926), fils d'Eugène Pastré, négociant (1807-1868), frère de Jean baptiste Pastré, grand notable marseillais (1804-1877).
André Pastré reçu du Saint siège le titre de Comte; on pouvait obtenir de la Papauté un titre nobiliaire (de pacotille, selon les vrais aristocrates) si l'on faisait un don important au saint siège, ce n'est plus possible aujourd'hui.
Inutile de recourir aux mânes de Lily Pastré, fort riche, cultivée, bienfaitrice fastueuse, héritière d'une partie de la campagne de Montredon. Lily fut mariée (puis divorcée) au fils Jean, du comte André...
Mais...Revenons à la voie, l'argument consistant à vouloir préserver le parc est faux.
Tout d'abord parce que ce dernier a fait l'objet tout récemment de travaux importants avec la création d'un parking pour les usagers du centre équestre et la création d'un théâtre.
Ensuite parce que le parc serait simplement longé à sa limite : une voie de 4 mètre de large sur 300 mètre de long environ, cela représente 1200 m2, or l'ensemble du parc représente 120 hectares soit 1 200 000 m2.
La voie à la limite extérieure représenterait donc 1/1000ème de la superficie du parc -
INSIGNIFIANT !!
Alors pourquoi s'opposer à la création d'une telle voie ? n'oublions pas qu'elle concerne non seulement les habitants de Callelongue à la Pointe Rouge mais tous les habitants de la conurbation de Marseille (plus d'un million d'habitants)qui peuvent se rendre vers une côte encore sauvage.
Une vision uniquement locale est réductrice.
Marseille est elle une grande ville ou une bourgade aux vues étriquées ?"
" la voie PASTRE"
SITUATION ACTUELLE
PROJET DE VOIE A SENS UNIQUE QUI PERMETTRAIT DE DÉSENCLAVER LES QUARTIERS DE CALLELONGUE A LA POINTE ROUGE LES JOURS DE GRANDE AFFLUENCE.
CETTE BRETELLE (un tronçon de voie routière de 400 mètres de longueur, entre l’avenue de Montredon (à hauteur de l’immeuble La Savoisienne) et le rond point de l’avenue du Corail (en face de l’école de la Marine Marchande). Voir plans de situation) LONGERAIT LE PARC (et non pas le traverserait), VERS L'AVENUE DU CORAIL, COMME IL EST LONGE PAR L'AVENUE DE LA MADRAGUE DE MONTREDON ET LA TRAVERSE DE CARTHAGE.
LA DÉCISION DE METTRE A L'ÉTUDE CE PROJET EN VUE DE SA RÉALISATION APPARTIENT A LA MAIRIE ET SURTOUT A LA COMMUNAUTÉ URBAINE (MPM).
CETTE VOIE SERAIT FAVORABLE AUX HABITANTS DE CES QUARTIERS MAIS AUSSI A TOUS LES MARSEILLAIS ET BIEN AU DELA QUI VIENNENT TOUTE L'ANNÉE DANS LES CALANQUES ET LES PLAGES ENVIRONNANTES. DE PLUS SA RÉALISATION POURRAIT ÊTRE RAPIDE.
NOUS SAISISSONS DES A PRÉSENT LES ELUS MAIRIE ET MPM POUR QUE CE PROJET SOIT ETUDIE ET INSCRIT AU PLAN LOCAL D'URBANISME
EN ESPERANT QUE NOUS SERONS ENTENDU, POUR L'INTÉRÊT PUBLIC DE TOUTE UNE VILLE.
PROJET DE VOIE A SENS UNIQUE QUI PERMETTRAIT DE DÉSENCLAVER LES QUARTIERS DE CALLELONGUE A LA POINTE ROUGE LES JOURS DE GRANDE AFFLUENCE.
CETTE BRETELLE (un tronçon de voie routière de 400 mètres de longueur, entre l’avenue de Montredon (à hauteur de l’immeuble La Savoisienne) et le rond point de l’avenue du Corail (en face de l’école de la Marine Marchande). Voir plans de situation) LONGERAIT LE PARC (et non pas le traverserait), VERS L'AVENUE DU CORAIL, COMME IL EST LONGE PAR L'AVENUE DE LA MADRAGUE DE MONTREDON ET LA TRAVERSE DE CARTHAGE.
LA DÉCISION DE METTRE A L'ÉTUDE CE PROJET EN VUE DE SA RÉALISATION APPARTIENT A LA MAIRIE ET SURTOUT A LA COMMUNAUTÉ URBAINE (MPM).
CETTE VOIE SERAIT FAVORABLE AUX HABITANTS DE CES QUARTIERS MAIS AUSSI A TOUS LES MARSEILLAIS ET BIEN AU DELA QUI VIENNENT TOUTE L'ANNÉE DANS LES CALANQUES ET LES PLAGES ENVIRONNANTES. DE PLUS SA RÉALISATION POURRAIT ÊTRE RAPIDE.
NOUS SAISISSONS DES A PRÉSENT LES ELUS MAIRIE ET MPM POUR QUE CE PROJET SOIT ETUDIE ET INSCRIT AU PLAN LOCAL D'URBANISME
EN ESPERANT QUE NOUS SERONS ENTENDU, POUR L'INTÉRÊT PUBLIC DE TOUTE UNE VILLE.
lundi 6 février 2012
Réunion de CA du mois de janvier
LA GRANDE COLERE DES HABITANTS DE LA MADRAGUE
de Claude Berthelot
Alors que les CIQ de la Madrague de Montredon, la Rose, la Verrerrie , de Saména, ainsi que les habitants avaient réussi à faire évoluer le projet immobilier sur les terrains de l’ancienne usine Legre mante , propriété de la famille Margnat (300 logements et 40 villas) et que des accords avaient été conclu avec le promoteur Océanis promotion qui s’était même engagé à participer aux travaux de création d’une voie de désenclavement, une réunion à la Mairie vient de tout remettre à plat , à leur grand dam.
Le projet de création d’un tronçon de voie routière de 400 mètres de longueur, à sens unique, qui date de 1992 entre l’avenue de Montredon (à hauteur de l’immeuble La Savoisienne) et le rond point de l’avenue du Corail (en face l’école de la Marine Marchande ) au droit de la campagne Pastré, sans aucune atteinte à cette dernière, vient d’être ressortie des cartons. A l’époque ce projet n’avait pu voir le jour malgré l’avis de la commission d’enquête, faute d’intérêt privé.
Cette voie à sens unique, bordée par une double piste cyclable aurait pour avantage de permettre de fluidifier le trafic de Callelongue à la Vielle Chapelle, partie située aux portes du Parc National des Calanques, et de ne pas toucher aux boulevards Piot, Prat et Chancel tout en soulageant la sortie des marins pompiers à la Pointe Rouge.
Les membres du Conseil d’Administration du CIQ, qui vient donc de se réunir pour faire le point sur la situation, en présence de la célèbre navigatrice Florence Artaud, habitante du secteur, venu apporter son soutien, souhaitent une issue favorable au projet de voie de délestage, seule solution qui permettrait de désengorger véritablement ces quartiers.
Jean Pierre Klein, membre du conseil d’administration précise que ni les CIQ ni les habitants de nos quartiers ne sont des « excités » ou des « agités » comme certains les ont nommés, mais des personnes responsables qui vivent depuis plusieurs années une situation intolérable, qui ne cessent de s’aggraver avec la construction de nombreux immeubles, densifiant davantage le flot de la circulation.
Certaines périodes de l’année, c’est quasi toute la journée et la soirée que des files ininterrompues de voitures empruntent la route des Goudes seule artère reliant le secteur au centre ville. Les habitants, mais aussi les nombreux visiteurs qui se rendent dans ces quartiers, se trouvent dans l’insécurité totale et plusieurs exemples comme le rappelle Monique Touitou, habitante et membre du CIQ, ont montré que lors d’accidents ou d’incidents importants les services de sécurité ne pouvaient les rejoindre en temps voulu. Ils peuvent en citer plusieurs cas.
D’ailleurs lors de l’enquête publique en 1992, les commissaires enquêteurs demandaient déjà que « la voie 502 soit prolongée le long de la Campagne Pastré jusqu’à l’avenue de Montredon, sur une emprise appartenant à la Ville ».
Ce projet qui emportait l’adhésion de la population vient donc d’être remis en cause par la mairie assurent les personnes présentes à la mairie, sous prétexte qu’il ne faut pas toucher à la campagne Pastré ». Ce qui n’est pas le cas, si certain prenaient la peine d’étudier réellement ce projet.
D’où une incompréhension totale des habitants qui posent la question : « La responsabilité du Maire ne serait-elle pas engagée en cas d’accident grave ? » Délivrer des permis de construire sans apporter des réponses sérieuses aux problèmes de circulation est devenu inacceptable pour les habitants.
Elisabeth Caruette rappelle qu’il n’y avait pas d’opposition au projet de construction immobilière, mais si aucune solution sérieuse et pertinente n’est apportée à la problématique de circulation, il n’est pas question d’avoir un afflux de véhicule supplémentaire.
La mairie propose quelques pistes, un projet de sens unique à la Pointe rouge ?, un projet de trémie …
D’après Yves Galtier , vice président du CIQ, le projet de trémie présenté par Richard Miron, adjoint aux sports de la Ville, ne soulagerait en rien les habitants en amont de la Pointe Rouge. D’où une interrogation de ces derniers ?
Ces propositions, non seulement ne répondraient pas aux problèmes d’embouteillages, mais en créeraient davantage.(durée des travaux, cout des travaux, fiabilité de ce type d’installation qui ont posé problèmes à d’autres endroits )
Elisabeth Caruette, présidente du CIQ rappelle que nous attendons de nos élus qu’ils répondent à leurs préoccupations et à leurs besoins. Cette insécurité est une atteinte à leur quotidien et un grand danger s’il était besoin d‘évacuer rapidement ? Pourquoi ce déni de la situation par les élus, dont certains vont jusqu’à dire « qu’il n’y a pas de problème de sécurité dans ces quartiers.
De nombreuses plages sont fréquentées l’été par des visiteurs venus de tous les quartiers de la ville et bien au-delà, c’est donc l’affaire de tous les Marseillais.
Le CIQ, propose de faire un recours contre ce permis de construire non abouti sur plusieurs aspects après un vote positif et unanime des membres du conseil d’administration.
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